SAC D'OS de Stephen King
AUTEUR : Stephen King
EDITION : Le livre de Poche
TRADUCTION : ANGLAIS (USA)
PAR William Olivier Desmond
GENRE : Fantastique 1998
726 p
***
J'ai lu SAC D'OS de Stephen King à l'occasion du challenge
de Bouquinovore Niveau 4 : Catégorie Ultime Décennie 1990
QUATRIEME DE COUVERTURE:
Reclus à Sara Laughs, sa maison de campagne, près d'un lac
Mike Noonan n'écrit plus. Depuis la mort brutale de sa femme Jo,
enceinte, ce romancier à succès connaît l'angoisse de la page blanche.
La rencontre de la petite Kyra, puis de sa mère Mattie, jeune veuve
en butte à la malveillance de son richissisme beau-père, amorce-t-elle
pour Mike un nouveau départ? Il le croît, mais c'est sans comptersans
les ombres qui hantent Sarah Laughs...
En devenant l'allié de Mattie et de Kyra, Mike a bravé les forces de
l'enfer. Elles vont se déchaîner contre lui, dans les pages enfiévrées
de ce roman salué par la critique mondiale comme le chef-d'oeuvre de
Stephen King.
MON AVIS : ♥♥♥
SAC D'OS fût une lecture intense, j'ai beaucoup aimé et j'ai trouvé
l'histoire originale, rocambolesque. L'humour, la confusion des sentiments
le frisson, la nature humaine: le pouvoir du riche sur le pauvre, le racisme
sont des éléments qui constituent ce fabuleux roman fantastique de Stephen King.
Les 726 pages étaient un régal!!!!!
Mike Noonan est un personnage attachant, il est perdu, désoeuvré depuis
la mort de sa femme. Joanna est mon personnage préférée, malgré sa
mort, elle est très présente.
Le style est fluide, jamais l'on s'ennuie. Il y a des passages calmes où
on découvre Mike, puis de l'action.
En fait ce livre me fait penser aux montagnes russe, ce livre est
à recommander, frissons garantis, mais aussi une ode à l'amour
malgré la mort.
STEFEN KING IS THE BEST
CITATIONS :
" Le livre de poche venait de réussir là où le cercueil gris avait échoué:
il m'avait fait prendre conscience qu'elle était morte ." P32
LE CRI DE MUNCH
"J'avais perdu ma place dans le monde et n'arrivais pas à le retrouver.
Rien de plus surprenant, au fond : la vie n'est pas un roman." P117